<XIX>raison que Voltaire, dans sa lettre à Frédéric, du 27 mars 1759, répète les paroles de Martial : « Je n'ai pu vivre sans vous, ni avec vous. » Cependant, lorsque l'âge eut tempéré la vivacité de leur caractère, l'harmonie se rétablit entre eux, et ne fut plus troublée, comme on peut le voir par le ton amical qui règne dans les lettres des dernières années.
Berlin, 6 février 1852.
J.-D.-E. Preuss,
Historiographe de Brandebourg.