<563>un avantage égal. Il est fâcheux que la Prusse soit obligée d'ignorer l'obligation quelle vous a; ce sentiment restera cependant profondément gravé dans mon cœur. C'est ce que je vous prie de croire, étant à jamais,



Madame,

Votre très-affectionné ami.
Federic.

DE LA DUCHESSE DE CHATEAUROUX.

Plaisance, 3 juin 1744.



Sire,

Je serais bien heureuse de pouvoir me flatter d'avoir pu contribuer à l'union que je vois avec joie qui va s'établir entre le Roi et V. M. Je sens, comme je le dois, les marques de bonté qu'elle me témoigne. Je désirerais bien vivement trouver souvent les occasions de lui prouver toute ma reconnaissance, et le profond respect avec lequel j'ai l'honneur d'être,



Sire,

de Votre Majesté
la très-humble et très-obéissante servante,
Mailly, duchesse de Chateauroux.