<117>et je vous prie d'être persuadé de l'estime infinie avec laquelle je suis à jamais, etc.
27. AU MÊME.
Le 1er janvier 1770.
Monsieur mon cousin,
Je remercie Votre Altesse et pour les bonnes nouvelles qu'elle me mande de ma nièce, et pour ce qu'elle a la bonté de me dire pour la nouvelle année. Je vous assure, mon cher prince, qu'on ne saurait plus s'intéresser que je le fais à votre bonheur et à celui de votre épouse. Je souhaite qu'il soit parfait, et que vous en jouissiez pendant une longue suite d'années sans inquiétude et sans traverses, vous priant de me croire avec une estime et une tendresse infinie, etc.
28. AU MÊME.
Le 8 janvier 1770.
Monsieur mon cousin,
Je suis bien obligé à Votre Altesse des bonnes nouvelles qu'elle me donne encore de ma nièce. J'ai bien cru qu'on lui interdirait encore l'écriture par rapport à l'affaiblissement de ses yeux, et j'aime mieux recevoir de ses lettres plus tard par ménagement pour sa santé. Je suis avec toute l'estime et l'amitié possible, etc.
Je vous prie d'assurer ma chère nièce de ma plus tendre amitié.