6. AU MÊME.
Le 3 août 1772.
Monsieur mon frère,
Il me serait impossible de laisser partir la princesse votre sœur sans me servir de l'occasion pour faire parvenir cette lettre entre les mains de V. M. Je crois qu'elle partagera mon affliction de voir partir la Reine sa mère, dont il faut prendre un congé éternel. En attendant, je fais des vœux sincères pour la prospérité de V. M. et de toute sa maison, en la priant d'être persuadée que je m'y intéresse avec plus de sincérité que personne, étant avec autant d'attachement que de considération, etc.