<49>et votre souvenir ne périra en moi qu'avec l'extinction de ce souffle de vie qui m'anime. J'entrevois déjà la fin de ma carrière, et le moment, cher prince, où l'Être des êtres réunira à jamais ma cendre à la vôtre.
La mort, messieurs, est la fin de tous les hommes : heureux ceux qui, en mourant, ont la consolation de savoir qu'ils méritent les larmes de ceux qui leur survivent!