<251>nicht zu dem geringsten Soupçon Anlass gebe noch Jemand etwas davon erfahre, kurz, es muss in allen und jeden Umständen das Secret auf das höchste menagiret werden, als wovor Mir Euer Leben, Ehre und Reputation responsabel bleiben sollen. Der Mylord Hyndford und die übrigen Gesandten, so sich von der Sache interessiren, sollet Ihr inzwischen amusiren und ihnen die Hoffnung machen, dass Ich mit einigen Herzogthümern, als Schweidnitz, Liegnitz, Jauer zufrieden sein würde, wie Ich Euch dann die Art und Weise überlasse, auf was Art Ihr mit ihnen am besten biaisiren könnet. Ihr sollet auch den Mylord Hyndford sowohl als den p. Ginkel auf das obligeantestetractiren und ihnen sagen, wie sie beiderseits herkommen könnten. Das anliegende Schreiben kann Valory an den Maréchal de Belle-Isle schicken, durch einen Expressen, und ihn dabei avertiren, dass alles richtig wäre, jedoch zugleich solchen ersuchen, es auf das höchste zu secretiren und keinem Menschen etwas davon zu sagen. Ich verlasse Mich hierunter in allem auf Eure Treue und Savoir-faire, und bin übrigens etc.
Friderich.
Nach der Ausfertigung. (Eichel.)
382. AU CARDINAL DE FLEURY A ISSY.
Camp de Grottkau, 30 mai 1741.
Monsieur mon Cousin. Je viens de signer l'alliance avec le Roi votre maître; ma fidélité à cet engagement vous fera oublier mes délais, et je vousréponds que jamais de votre côté vous n'aurez de plaintes àme faire, ni lieu de vous repentir de cette alliance; je vous dispute à présent, M. le Cardinal, d'être meilleur Français que je le suis. Je vous prie d'assurer au Roi votre maître que jamais personne l'a plus estimé que je le fais, et que je lui en donnerai des preuves dans toutes les occasions.
Soyez sûr d'ailleurs de l'estime et de la considération infinie avec laquelle je suis, Monsieur mon Cousin, votre très fidèle ami
Federic.
Nach der Ausfertigung im Dépôt des affaires étrangères in Paris. Eigenhändig.
383. AU MARÉCHAL DE FRANCE COMTE DE BELLE-ISLE A MUNICH.
Camp de Grottkau, 30 mai 1741.
Monsieur. C'est sur la foi de vos promesses, sur les choses que vous avez eu ordre de me dire, au nom du Roi votre maître, et sur l'estime infinie que je fais de votrehabileté dans le métier de la guerre, que je viens de signer l'alliance dans laquelle vous m'avez invité; me