<309>Provinzien; 3) in einem secreten Articul wegen der Garantie Meines ostfriesischen Successionsrechtes und 4) in dergleichen Articul wegen der mecklenburgischen Succession, in Sonderheit aber, dass die bishero Hannover aufgetragene Commission in denen dortigen Landen cessiren, und Mir nöthigen Falls aufgetragen werde, die hannöverischen Truppen daselbst zu delogiren. Was Ihr sonsten zu Meinem Interesse hierbei noch dienlich findet, wird Euch bekannt sein und Ihr einzubringen nicht vergessen, inzwischen Ihr zu Gewinnung der Zeit und damit hiernächst alles um so eher zu Stande kommen möge, ein Project dieses Tractates vorläufig fertigen könnet, und wird sich der p. Graf Törring dann schon expliciren, was man churbairischerseits dagegenverlanget. Ihr könnet auch mit dem Marquis de Valory aus dieser Sache sprechen, und werde Ich hiernächst Eure fernere Berichte deshalb mit sicherer Gelegenheit erwarten. Ich bleibe etc.
Friderich.
Nach der Ausfertigung.
468. A L'ÉLECTEUR DE BAVIÈRE A NYMPHENBOURG.
Camp de Reichenbach, 24 août 1741,
Monsieur mon Cousin. Je remercie de tout mon cœur Votre Altesse Électorale de la lettre cordiale et remplie d'amitié qu'Elle vient de m'écrire; Elle peut être persuadée qu'Elle n'a pas dans le monde d'ami plus fidèle et plusattaché que je le serai toute ma vie, et que toutes les marques que vous me donnez de votre amitié ne sont pas semées en terre ingrate.
J'attends que le comte de Törring ait reçu ses pleins-pouvoirs, pour conclure avec Votre AltesseÉlectorale l'alliance la plus naturelle, la plus stable, et où l'inclination a le plus de part qu'il y ait dans l'univers; vous pouvez compter, non seulement à présent, mais toujours, sur moi, et Votre Altesse Électorale verra que je ne m'intéresse pas médiocrement à Ses intérêts; je Lui donnerai dans toutes les occasions des marques de ces mêmes sentiments, et même, je suis actuellement occupé à porter le coup mortel à Ses ennemis. Nous ne sommes campés qu'à une mille et demie les uns des autres, j'ai reconnu moi-même ce matin le camp des Autrichiens, et je l'ai jugé très attaquable et M. de Neipperg très susceptible d'être battu; j'attends encore à prendre quelques arrangements préliminaires, après quoi il faudra les attaquer, et nous les battrons aveci'aide de Dieu.
J'espère d'apprendre bientôt de bonnes nouvelles de la Bohême et de l'Autriche, soumises à votre domination; je ne puis me résoudre à aimer ces peuples que du moment qu'ils seront devenus vos sujets, ni de soutenir le trône impérial que lorsque vous le possèderez.
Je vous embrasse mille fois, mon cher Électeur, je vous prie excuser cette familiarité d'un inconnu en faveur des sentiments d'estime, de