98. AU COLONEL DE CAMAS A PARIS.
Rheinsberg, 11 octobre 1740
Monsieur de Camas. La poste passée ne m'a rien apporté de vous, et je n'ai reçu qu'une seule lettreaprès votre départ de Wésel. Cependant je ne puis pas m'empêcher de vous faire lire un avis que j'ai reçu de Mannheim, et qui marque assez combien peu on y ménage l'affaire de l'accommodement, que nous cachons si soigneusement. Vous pouvez en faire confidence au Cardinal, afin de lui faire connaître les maximes de la cour palatine, qui ne me paraissent rien moins que sincères et me surées. Je suis toujours etc.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
<61>