442. AU CARDINAL DE FLEURY A ISSY.
Camp de Strehlen, 30 juillet 1741.
Monsieur mon Cousin. Vous pourrez être persuadé que ma satisfaction est pleine, de voir par les lettres que vous m'avez fait le plaisir de m'écrire, combien le Roi a la bonté de penser à moi et d'agir en ma faveur. Vous pouvez l'assurer, Monsieur, que ma reconnaissance sera éternelle, et que je remplirai toujours à la rigueur tous les engagements d'un fidèleallié. J'ai donné des ordres à mes ministres à Francfort et à mes généraux d'agir en tout en conséquence de ce que M. de Belle-Isle pourra désirer d'eux, et vous pouvez vous reposer sur moi dans toutes les occasions, où vous verrez avec quelle vivacité je me porterai à tout ce qui peut faire plaisir et être avantageux au, roi de France. Ce sont des sentiments inaltérables en moi, et qui vont depair avec la parfaite estime et la haute considération avec laquelle je suis à jamais etc.
Federic.
Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.