permission de se transporter ailleurs,1 Le Landgrave se flatte que Votre Majesté voudra bien approuver ces précautions.“ Finckenstein berichtet, Berlin 27. Juni, über eine Conferenz mit La Touche, der im Auftrage seines Hofes angefragt hat, welche Mittel man in Berlin für die geeignetsten hielte, um einen etwaigen neuen Versuch Englands und Oesterreichs zur Durchsetzung der Wahl eines römischen Königs zu verhindern.2 In Betreff des durch Knyphausen wiederholt gemachten Vorschlags, eine Subsidienverhandlung mit Baiern einzuleiten,3 erklärt La Touche, dass sein Hof ohne dringende Noth neue Subsidien Verpflichtungen zu den lästigen bestehenden nicht übernehmen werde. „Enfin, il en vint à un troisième et dernier article qui, par son contenu, aussi bien que par la manière dont il l'énonça, me parut être le plus essentiel et celui qui lui avait été le plus fortement recommandé. Il me dit que sa cour souhaiterait de savoir les idées de Votre Majesté sur l'emploi qu'il faudrait faire, dans le cas d'une rupture avec l'Angleterre, des 20,000 hommes que la France a pris à sa solde en vertu des traités secrets qu'elle avait conclus avec différents princes de l'Empire,4 ensuite d'un concert préalable avec Votre Majesté, et dans la seule vue du maintien de la paix et de la sûreté de ses alliés. J'ai pris tout ceci ad referendum et j'ai cru devoir me tenir d'autant plus dans les bornes du silence que la matière m'a paru des plus délicates; il me semble en effet, selon mes faibles lumières et en combinant les différents points sur lesquels on souhaite de savoir l'avis de Votre Majesté, qu'on peut en conclure que la France songe à rendre la guerre générale dans le moment où elle sera obligée de rompre avec l'Angleterre, qu'elle serait bien aise dans ce cas-là d'y entraîner Votre Majesté et de L'engager à la porter dans l'Empire pour lui faire une puissante diversion,5 et que toute cette démarche de sa part ne vise qu'à voir clair dans la façon de | Briefe fände, in welchen von ihm und über dessen Sujet in harten und choquanten Terminis geschrieben worden wäre. Daher man sich darunter wohl in Acht nehmen muss. Wegen Pfalz hat er6 gross Recht, und soll er dem Chevalier La Touche nur sagen, dass, wenn man Pfalz ein Dédommagement versprechen würde, solches die Sache gleich rompiren könnte. Was sie von denen Subsidientruppen vor einen Gebrauch machen sollen, deshalb muss er nur sehr poliment antworten, wie Ich ihnen überlassen müsse, den Gebrauch davon zu machen, so sie am convenablesten und ihren Vues am conformesten urtheileten, indem sie darüber und über das Interesse von Frankreich eclairirter wären, wie Ich sein könnte, und also ihnen darunter nach Gutfinden zu thun überlassen müsse. |
1 Vergl. S. 87. 88.
2 Vergl. S. 167.
3 Vergl. S. 117.
4 Vergl. Bd. VIII, 595. 599. 605; Bd. IX, 489.
5 Vergl. S. 144. 148. 170.
6 Finckenstein.