<318> offices de la France, et que la seule chose que je prétendais en ceci, était seulement que le baron de Hœpken fût obligé de me faire quelque réparation par rapport aux termes mal ménagés dont il avait usé en me faisant faire par le ministre de Suède ici la déclaration indécente par rapport à l'affaire de Rexin1 que vous n'ignorez pas, de sorte que, dès que le baron de Hœpken aura déclaré qu'il avait mal ménagé les termes dont il s'était servi en faisant faire la susdite déclaration, et qu'il m'en aura fait des excuses, le reste sera peu de chose; aussi ajouterezvous qu'ayant fait jusqu'ici le difficile pour ne pas me prêter au nouveau cérémonial de la Suède, j'avais plutôt eu en vue le baron de Hœpken que la cour de Suède.
Quant au sujet de la négociation avec la Saxe pour faire un traité de subsides avec elle, j'espère que les dépêches antérieures que je vous ai faites à ce sujet, vous auront mis assez au fait de ma façon de penser sur cette affaire et de toutes les raisons que j'ai pour persister dans ces sentiments;2 au reste, soyez persuadé que ce ne sera pas M. de Rouillé qui rompra cette négociation, mais bien les Saxons euxmêmes, vu qu'ils sont trop entrés avec l'Angleterre, et que tout ce qu'ils font voir d'envie de vouloir conclure avec la France, n'est qu'un jeu du comte de Brühl pour s'en faire un mérite auprès des Anglais et leurs alliés.
Federic.
Nach dem Concept.
7008. AN DIE ETATSMINISTER GRAF PODEWILS UND GRAF FINCKENSTEIN.
Charloltenburg, 30. September 1755.
Ich habe Mich bei einer gewissen Gelegenheit zurückerinnert, wie dass man schon vor einigen Jahren hessenscher Seits angetragen, die sogenannte Abzugs- oder Abschossgelder zwischen Meinen und denen hessenschen Landen réciproquement aufzuheben, welche Sache aber dadurch in das Stecken gerathen, weil man zwischen Meinen weitläuftigen Provinzen und denen hessenschen Landen keine Proportion gefunden. Da Ich aber nunmehro und bei jetzo veränderten Umständen im Hessenschen vor Meinen Dienst und für das Beste Meiner Staaten allerdings avantageux finde, wann diese Sache annoch zur Richtigkeit gebracht, und der Abschoss zwischen beiderseitigen Landen vermittelst einer deshalb zu treffenden Convention réciproquement aufgehoben wird, so will Ich, dass Ihr bei der ersten Gelegenheit erwähnte Sache wiederum in Bewegung bringen und dabei alle Bemühung und Facilité anwenden sollet, damit die réciproque Aufhebung des Abschusses mit Hessen-Cassel befördert und zu Stande gebracht, auch deshalb auf gute Art, wie bereits mit verschiedenen Benachbarten geschehen, eine Convention
1 Vergl. S. 176—178.
2 Vergl. S. 243. 282. 288.