7038. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 20. October. „Le ministère d'Hanovre vient de nous écrire la lettre ci-jointe [d. d. Hannover, 12. October] au nom du Roi son maître. Elle porte en substance : qu'à en juger par le langage que la cour de Versailles avait fait tenir depuis quelque temps, et par certains mouvements qu'elle avait fait faire jusqu'ici, il y avait grand apparence qu'elle méditait de faire non seulement une invasion dans les États d'Allemagne du roi d'Angleterre, mais d'exercer encore sa vengeance contre les alliés de ce Prince, sous le faux prétexte que l'Angleterre avait commencé la première les hostilités; que, supposé même que cela fût fondé, une pareille agression ne pourrait donner aucun droit à la France d'attaquer lesdits Pays; que, comme néanmoins le danger

Potsdam, 21. October 1755.

Ich melire Mich nicht davon; Sie sollen aber auf das Schreiben in sehr obligeanten, jedoch zugleich ganz vaguen Terminis und in dem wienerschen Style345-4 dergestalt antworten, dass solche nicht affirmative, nicht declinatoire, sondern so ohnverständlich gefasset ist, dass, wenn auch das hannoversche Ministère diese Antwort anderen Ständen auf dem Reichstage zu Regensburg sehen lässet, diese daraus nichts verstehen können. Von welcher Antwort, ehe sie abgehet, sie Mir zuforderst das Concept schicken

dont l'Allemagne était menacée de la part des Français, devenait de jour en jour plus grand, Sa Majesté Britannique allait s'adresser à la Diète de Ratisbonne, pour l'engager à prier l'Empereur de faire expédier des lettres déhortatoires aux Princes de l'Empire, qui pourraient, le cas d'une invasion existant, vouloir favoriser la marche des troupes françaises; que Sadite Majesté espérait que Votre Majesté voudrait bien concourir par Ses suffrages à la Diète à un but aussi salutaire, et qu'elle se flattait que Votre Majesté S'y refuserait d'autant moins qu'Elle avait garanti les possessions du rot d'Angleterre en Allemagne.«

Die Minister fügen hinzu, dass allerdings König Friedrich Wilhelm I. die Garantie für die hannoverschen Staaten übernommen habe: „mais il n'est pas moins certain que, lorsqu'en 1745 Votre Majesté réclama celle de Sa Majesté Britannique, le plus solennellement promise pour Ses États de Silésie,346-1 ce Prince déclina de la Lui prêter sous divers prétextes frivoles; ainsi qu'il paraît par la lettre ci-close en original, qu'il écrivit [d. d. Londres 25. janvier 1745] à Votre Majesté dans ce temps-là sur ce sujet.“ 346-2

sollen. Wobei ihnen überlassen wird, ob sie vor gut finden, etwas in dem Stile, wie vormals der König von Engelland geantwortet hat, mit hinzuwerfen, wie uns zur Zeit nicht wissend, wer in gegenwärtigen Differenzien der Agresseur zu nennen sei.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



345-4 Vergl. Bd. VIII, 319.

346-1 Vergl. Bd. III, 360—363.

346-2 Vergl. Bd. IV, 63.