glorieux et très content, pendant que celui qui domine aujourd'hui, ne cache pas combien il en est fâché.“ | avec la Suède touchant l'affaire de Rexin. |
Nach dem Concept.
7310. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE HÆSELER A COPENHAGUE.
Potsdam, 28 février 1756.
Les instructions que j'ai à vous donner, sur votre rapport du 14 de ce mois, sont que vous devez être attentif pour vous mettre au fait de la façon dont se conduiront les ministres de Russie et d'Autriche par rapport à la convention de neutralité de l'Allemagne, conclue entre moi et la Grande-Bretagne, et des propos qu'ils tiendront à cet égard, surtout après qu'ils auront reçu des ordres de leurs cours qui y seront relatifs.
Au surplus, vous continuerez d'en agir sur le même pied avec M. Ogier que vous avez fait jusqu'ici, et votre conduite sera toujours la même envers lui jusqu'à nouvel ordre.
Federic.
Nach dem Concept.
7311. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Podewils und Finckenstein übersenden, Berlin 27. Februar, ein an Podewils gerichtetes Schreiben des churpfälzischen Ministers von Wachtendonck [d. d. Düsseldorf 16. Februar], in welchem derselbe die grosse Genugthuung des Churfürsten über die Mittheilung der Neutralitatsconvention1 ausspricht und um Uebersendung des Wortlautes des Vertrages bittet. Die Minister unterbreiten den Vorschlag, die Bitte zu gewähren und Nivemois von dem Schreiben Wachtendonck's in Kenntniss zu setzen … „Nous sommes également persuadés qu'Elle [Votre Majesté] nous fera la grâce de nous ordonner si l'on en doit faire autant à l'égard des cours de Suède, de Cassel, Baireuth, Anspach, Brunswick et Wurtemberg, comme à des alliés de Votre Majesté, et même à la cour de Vienne, de la même façon que le sieur de Keith l'a fait,2 puisque nous sommes de l'opinion qu'avant de faire faire cette communication ministériellement, il vaudra mieux de ne leur donner préalablement qu'un précis du contenu de la convention dont il s'agit, à l'exemple de l'Angleterre, d'autant plus que la ratification de cette couronne de ladite convention ne vient que d'arriver.“ 3
Potsdam, 28. Februar 1756.
Gut.
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
7312. AN DEN OBERST VON DER GOLTZ IN HALLE.
Potsdam, 29. Februar 1756.
Mein lieber Obrister von Goltz. Nachdem Ich nunmehro die in Conformität Meines letztem Schreibens an Euch4 zur Regulirung und
1 Vergl. S. 77.
2 Vergl. S. 139.
3 Vergl. S. 144.
4 Schreiben des Königs vom 21. Februar über einige specielle Punkte der Zollverhandlung.