quellement continuée, à quoi je contribuerai toujours de la façon la plus sincère. Le prince héréditaire de Hesse-Cassel est arrivé ici.1 J'emploierai tous mes soins pour lui inspirer des sentiments de douceur et de modération et pour tempérer les préjugés dont on l'a imbu. Il faudra voir jusqu'où j'y réussirai. Je compte, en attendant, toujours son séjour ici pour une chose bien avantageuse à la bonne cause, puisqu'au moins, tandis que nous le posséderons ici, on ôtera tout prétexte de levée de boucliers à ceux qui, du vivant même de son père, voudraient renverser les arrangements pris pour le maintien de la religion protestante dans la famille et dans le pays, et fera échouer le projet d'allumer la guerre dans l'Allemagne;2 reste à voir ce qu'il y aura à faire à l'évènement de la mort du Landgrave régnant son père. Considération que vous ne manquerez pas de faire valoir modestement auprès des ministres anglais. Au surplus, comme j'accepte la proposition que les directeurs des intéressés à la dette de Silésie vous ont fait entendre, j'arrangerai tout pour l'acquit entier de cette dette, dont mes ministres vous instruiront plus en détail au premier jour. Federic. |
Nach dem Concept.
7435. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Podewils und Finckenstein übersenden, Berlin 16. April, ein Schreiben des Markgrafen von Ansbach [d. d. Onolzbach 27. März], in welchem derselbe sich gegen die Vorwürfe zu rechtfertigen sucht, die ihm vom Könige wegen seiner Haltung bei dem Abschluss des englischen Subsidienvertrages gemacht waren,3 „en exposant qu'il n'avait jamais pu prévoir, ni soupçonner que le traité de subsides conclu avec le roi d'Angleterre pût être considéré en aucune façon comme contraire aux pactes de la maison, n'y ayant aucun article qui donnât atteinte à ces pactes, et cela d'autant moins qu'il y était expressément stipulé que les deux bataillons de troupes que le Margrave s'est engagé de tenir sur pied au service du roi d'Angleterre, ne devraient être jamais employés hors des pays d'Hanovre; que le retour de Sa Majesté Britannique pour son royaume l'avait tant pressé lors de la conclusion du traité, ainsi que la date le faisait voir, qu'on n'avait pas même accordé au plénipotentiaire du Margrave le temps nécessaire pour lui en communiquer préalablement la minute, avant d'en venir à la signature, de sorte qu'il avait été hors d'état d'en faire part à Votre Majesté avant la conclusion dudit traité.“
Potsdam, 17. April 1756.
Es ist ja klar wider die Pacta.
Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1 Vergl. S. 268.
2 Vergl. S. 257.
3 Vergl. Nr. 7331 S. 174.