de Versailles est sur le point d'être signé,1 qu'il est de quatre articles, que le premier contient le préambule ordinaire et le renouvellement de quelques précédents traités, le second la neutralité des Pays-Bas, le troisième de ne donner aucune assistance aux ennemis pendant la présente guerre, le quatrième la ratification. Enfin, it doit y avoir un article secret, portant l'acquiescement de la cour de France et promesse de ses bons offices pour l'élection du archiduc aîné pour roi des Romains. Peut-être y en a-t-il encore plus, par exemple par rapport aux affaires de Hesse,2 mais je n'en ai pas pu savoir davantage. “ | faites depuis le 30 d'avril jusqu'au 11 de ce mois, et je veux bien vous marquer ma satisfaction sur l'attention et l'empressement que vous avez à me bien instruire de ce qui se dit et se passe à vos lieux, et qui peut mériter mon attention, aussi ne douté-je en aucune façon de ce que vous avez marqué au sujet de la prochaine conclusion d'une convention entre les cours de Versailles et de Vienne et des articles qui en doivent faire l'objet. Au surplus, vous recevrez à la suite de celle-ci l'assignation pour le montant des débours de 786 florins que vous avez faits pour l'expédition des différents courriers, dont vous ne manquerez d'envoyer le reçu au conseiller privé Eichel. Federic. |
Nach dem Concept.
7505. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE MALTZAHN A LEIPZIG.
Potsdam, 19 mai 1756.
J'ai reçu votre rapport du 15 de ce mois. Pour éviter dorénavant tout embarras dans la distribution des 60,000 écus qui se paient à la foire de Leipzig à mes sujets créanciers de la Steuer, conformément à la convention faite à ce sujet,3 je vous dirai que vous devez suivre exactement en ceci le tour et l'ancienneté des créanciers de la dette, en sorte que celui dont le billet de la Steuer est antérieur en date à un autre, soit préférablement payé à celui qui en est postérieur. A quoi, vous vous conformerez ponctuellement à la suite, sans avoir plus quelque égard ni à la qualité des personnes qui y sont intéressées, ni même aux ordres qu'ils sauraient avoir obtenus, sans connaissance de cause, pour avoir de la préférence.
Federic.
Nach dem Concept.
7506. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Potsdam, 20. Mai 1756.
P. S.4
Auch soll ich auf expressen Befehl Sr. Königl. Majestät an Ew. Excellenz melden, wie der Herr von Knyphausen durch einen Expressen,
1 Vergl. S. 322.
2 Vergl. S. 257.
3 Vergl. Bd. X, 163.
4 Das Hauptschreiben liegt nicht vor.