7288. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 19. Februar, dass er über den Inhalt der finden Herzog von Nivernois eingetroffenen Depeschen132-1 bei dem Chevalier de La Touche Erkundigung eingezogen hat, da der Herzog selbst augenblicklich krank ist: „Mais je l'ai trouvé fort boutonné et très serré; j'ai seulement compris par quelques mots qui lui échappaient, qu'il y a de l'aigredoux parmi, de sorte qu'il se pourrait bien qu'il commençât auprès de Votre Majesté par les plaintes de la France, en répétant celles que le sieur Rouillé a faites au baron de Knyphausen, et que le ïénitif vînt après.“ | Potsdam, 22 février 1756. J'ai reçu votre lettre du 19 de ce mois, à laquelle cependant je ne saurais vous répondre, avant que je n'aie parlé au duc de Nivernois, qui nous est arrivé hier, et entendu tout ce qu'il aura à me proposer. En attendant, je vous sais gré de la communication du bon avis que vous avez su tirer préalablement du chevalier de la Touche. Et sur ce, je prie Dieu etc. Federic. |
Nach der Ausfertigung.
132-1 Vergl. S. 102.