<408> commune,1 et que les troupes de la République se joindront à celles que Sa Majesté Britannique fera assembler. Je vous prie, au reste, d'être assuré des sentiments de l'amitié la plus sincère et de la considération parfaite avec lesquelles je suis à jamais, Monsieur mon Frère et Cousin, de Votre Altesse le bon frère et cousin

Federic.

Nach dem Concept.


8064. A LA REINE DE SUÈDE A STOCKHOLM.

[Sedlitz, 17 septembre 1756.]2

J'ai été forcé par la reine de Hongrie de lui faire la guerre, ce n'est sûrement point par choix. Cette année-ci, je me mets dans mon avantage, pour pouvoir, l'année qui vient, soutenir la gageure contre un grand nombre d'ennemis. Je prends certainement une part sensible à la situation où vous êtes, et j'espère même de vous en donner des marques. Pour l'amour de Dieu et votre conservation! tenez-vous seulement tranquille, jusqu'au temps qu'on pourra agir efficacement pour vous.

Je n'ai point entendu parler du colonel Hârd. Je sais que Wrangel3 s'est retiré à Bremen. Je soupçonne que l'autre l'aura suivi, cependant, s'il vient, je tâcherai de le dérober à la connaissance du public, pour que son séjour n'éclate point. Daignez prendre patience dans un temps certainement désagréable et fâcheux pour vous; mais soyez sûre que cela changera. Pour l'amour de tout ce qui vous est précieux, n'employez point de moyens violents.

Federic.

Nach dem Concept.


8065. AN DEN GENERALFELDMARSCHALL VON DOSSOW IN WESEL.

Sedlitz, 17. September 1756.

Ich habe aus Eurem Schreiben vom 11. dieses ersehen, was Euch der Kammerpräsident von Bessel wegen einer ihm zugekommenen Nachricht eines prätendirten Einmarsches von einigen österreichischen und französischen Truppen in das Clevische melden wollen. Ich beziehe mich zuforderst auf dasjenige, so Ich Euch und des Generallieutenant Erbprinz von Hessen-Cassel Liebden. ingleichen dem Generalmajor von Jungken deshalb mit letzterer Post geschrieben habe,4 und obschon noch zur Zeit Ich den Bruit von dergleichen Einmarsch vor ohngegründet halte, so kann Ich doch auch nicht vor dasjenige schwören, was darunter noch geschehen könnte, und glaube Ich demnach vor das beste Mittel bei der Sache zu sein, dass, woferne ob-



1 Vergl. S. 389.

2 Das Schreiben war am 17. September an den Grafen Solms geschickt worden.

3 Vergl. S. 75. 89.

4 Vergl. Nr. 8026.