7696. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 12. Juli, mit Bezugnahme auf Michell's Bericht vom 2. Juli über den von dem Könige von England geäusserten Wunsch einer Versöhnung zwischen dem Könige und dem Markgrafen von Ansbach:67-3 „Nous prenons la liberté de demander dans le plus profond respect les ordres de Votre Majesté de quelle manière nous devons instruire sur ce sujet le sieur Michell. Le baron de Seckendorf^ qui s'est au reste trouvé jusqu'ici au timon des affaires de Sadite Altesse Sérénissime, et qui lui a mal conseillé en bien des | Potsdam, 13. Juli 1756. Ist ganz gut; es ist aber sonst schon an Michell geschrieben worden, dass die Ursache Meines Missvergnügens gegen den Markgrafen nicht der Tractat, welchen er gemachet, gewesen, sondern dass er solchen nicht communiciret oder Mir davon Ouverture gegeben, wie es die Pacta und Verträge von der Familie erfordert hätten. |
occasions, venant d'avoir eu son entière démission suivant les nouvelles authentiques arrivées d'Anspach ici, il semble que, dans le cas où Votre Majesté voudrait accorder à ce Prince un retour d'àmïtié de Sa part, on pourrait rejeter toute la faute du passé sur les mauvaises intentions dudit ministre.“68-1 | |
Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 12. Juli: „Le sieur de Maltzahn à Dresde ayant supplié Votre Majesté par son dernier rapport du 5 de ce mois68-2 de vouloir bien l'instruire de la façon dont il doit s'expliquer là où il se trouve et en particulier envers le lord Stormont, ministre d'Angleterre à Dresde, par rapport aux mouvements qu'Elle a fait faire de Ses troupes dans les conjonctures présentes, nous nous trouvons entièrement hors d'état de lui donner làdessus quelques instructions, sans avoir reçu à ce sujet préalablement les ordres de Votre Majesté.“ | Ich weiss nicht anders, als dass M. Mitchell schon an den Lord Stormont deshalb das nöthige geschrieben hat, worüber allenfalls der Graf von Finckenstein mit ihm sprechen wird. In gar weitläuftige Explications aber wollte Ich aus Ursachen, die der von Maltzahn von ihm68-4 gemeldet hat,68-5 nicht gerne gehen. |
Podewils und Finckenstein unterbreiten, Berlin 12. Juli, mit Bezugnahme auf Klinggräffen's Bericht vom 3. Juli, 3 dem Könige den Vorschlag, die preussischen Gesandtschaftsarchive in Wien, im Fall einer Abberufung der preussischen Vertreter, dem churbraunschweigischen Gesandten Baron Steinberg anzuvertrauen. | Gut! Aber wenn es zum Ernst kommen sollte, so wird auch der nicht lange dort bleiben. |
Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
67-3 Vergl. Nr. 7695.
68-1 Vergl. Bd. X, 437; XI, 409. 410.
68-2 Vergl. Nr. 7675 S. 47. — 3 Klinggräffen berichtet, Wien 3. Juli, auf den Erlass vom 26. Juni (Bd. XII, 464): „Je ne crois pas que le sieur Keith se charge volontiers de mes archives; je doute qu'il ait de la place pour cela; quand le cas existera, je tâcherai de le persuader; mais je ne sais pas comment fera le sieur de Diest, dont les archives occupent une assez grande salle seule.“
68-4 Stormont.
68-5 Vergl. S. 47. 49. — 6 Vergl. Nr. 7685.