8366. CIRCULAIREORDRE AN SÄMMTLICHE IN SACHSEN STEHENDE REGIMENTER.1
Dresden, 27. November 1756.
Da die Regimenter der Armée nunmehro ihre Winterquartiere bezogen und darin alles dasjenige, so ihnen gebühret, zu gemessen haben, verschiedene Officiers aber von ein- und anderen Regimentern in der Meinung stehen, als ob dieselben an Orten, wo die Accise in hiesigen Landen eingeführet worden, sich von denen Acciseverfassungen eximiren dörften und sich solchen zu unterwerfen nicht nöthig hätten, als declarire und befehle Ich hierdurch, dass nicht nur die Regimenter, an Orten, wo die Accise erhoben wird, sich denen Acciseverfassungen unterwerfen, sondern auch die Wachten in denen Thoren dahin anweisen sollen, die Thorschreiber und Accisebedienten in ihren Functionen auf Erfordern allemal gehörig zu assistiren. Ihr habt Euch also auch Eures Ortes darnach zu achten und darüber zu halten, auch das nöthige deshalb denen Officiers bekannt zu machen.
Friderich.
Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.
8367. AU DUC RÉGNANT DE BRUNSWICK A BRUNSWICK.
Der Herzog von Braunschweig theilt dem Könige, Braunschweig 17. November, mit, dass einige junge Edelleute bereit seien, in der Armée des Königs Dienste zu nehmen. Der Herzog äussert sich weiter dahin: „Ce que Votre Majesté daigne me dire par la réponse dont Elle m'a bien voulu honorer au 7 du courant, touchant l'intérêt commun de tous les États de l'Empire, est si lumineux que mes espérances vont en augmentant que les États catholiques prêteront encore l'oreille aux représentations que je leur fais et tâche de disposer les autres de les leur faire conjointement avec toute la douceur et toute l'énergie possible. Aussi me paraît-il que mes soins ne soient pas tout-à-fait infructueux, et que je n'ai pas manqué en insistant, dès le commencement jusqu'ici, de continuer la communication avec eux, malgré toute leur froideur et réserve, et de les convaincre, malgré eux, que l'idée d'une guerre de religion ou d'un abaissement de la leur est destituée de tout fondement, et que les suites en seraient pernicieuses pour les uns et les autres. Aussi l'empressement de la cour impériale pour la proposition des décrets de la cour, communément appelés Hofdecrete, paraît un peu ralenti. Je demande mille fois pardon, Sire, de L'incommoder avec ces ennuyants détails qui doivent naturellement causer à Votre Majesté de l'ennui, étant déjà si occupée des plus grandes affaires : l'unique but en est que, si Votre Majesté trouve quelque chose à y corriger, je puisse, tant qu'il m'est possible, mouler sur Ses hautes instructions ma conduite. D'Hanovre on m'avertit que je serais débarrassé de négocier avec le ministère hanovrien,2 et que le sieur Mitchell aurait la commission de conclure le traité avec moi.“
Dresde, 27 novembre 1756.
Monsieur mon Frère et Cousin. J'ai reçu la lettre qu'il a plu à Votre Altesse de me faire le 17 de ce mois, et parfaitement sensible a tous les sentiments d'amitié et d'attention dont Votre Altesse a bien
1 Vergl. S. 18.
2 Vergl. S. 56; Bd. XIII, 608.