9269. AU FELD-MARÉCHAL DE KEITH.

[Weissenberg,] 10 [août 1757].

J'approuve fort le projet que vous avez, mon cher Maréchal, de marcher au devant du convoi.294-3 Pour du pain, il n'y en a pas à Bautzen, et vous ne devez pas espérer d'en tirer de là. Notre convoi a marché sur Kœnigsbrück, on assure qu'il pourra être demain à Bautzen. Vous prendrez bien vos dimensions sur tout ceci. Le prince de Bevern enverra six bataillons du côté de Kœnigsbrück,294-4 et avec cela, si tous les Nadasdy de l'univers s'en mêlent, ils ne troubleront pas nos arrangements. Adieu, mon cher Maréchal, je vous embrasse.

Friderich.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.

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294-3 Der von Dresden über Königsbrück nach Bautzen gehende Transport.

294-4 Ein undatirtes eigenhändiges Schreiben an den Herzog von Bevern enthält die Weisung: „Wollen Sie wohl sechs Bataillons nach Bautzen schicken, damit von dar andere den Weg nach Königsbrück unsere Mehlwagens entgegengehen können. Adieu. Friderich.“