9930. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE VIERECK A COPENHAGUE.

Grüssau, 13 avril 1758.

J'ai reçu votre rapport du 4 de ce mois, dont j'ai été satisfait par les différentes informations que vous m'avez données sur des choses qui méritent mon attention; mais ce que je voudrais que vous approfondiez plus encore, et que vous m'en fassiez un rapport exact, c'est sur l'impression que la retraite précipitée des troupes françaises en Allemagne, faite avec des pertes très considérables jusqu'au delà du Rhin, a faite sur la cour où vous vous trouvez, et ce qu'elle en pense. Vous tâcherez<381> donc de me satisfaire au plus tôt là-dessus, et me manderez en même temps votre sentiment si un changement d'une telle importance ne saurait opérer si bien sur ces gens qu'on saurait faire quelque chose avec eux.381-1

Federic.

Nach dem Concept.



381-1 Vergl. S. 294 mit Anm. 4.