<376> le corps de troupes que j'ai avec moi, à Dresde. Le reste des troupes, je le laisserai ici sur la frontière, sous le commandement du lieutenantgénéral de Zieten.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
10535. AN DEN GENERALMAJOR VON FINCK.
Lauban, 15. November 1758.
Ich bin den 15. hier zu Lauban angekommen; Ich marschire gerade auf Dresden und gedenke den 20. da zu sein. Auf den Fall Daun daselbst noch stehn sollte, müsset Ihr alle Anstalten parat halten, dass Ich daselbst über die Elbe gehn könne.
Friderich.
Nach dem Concept.
10536. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE FINCKENSTEIN A BERLIN.
Lauban, 15 novembre 1758.
J'ai reçu vos rapports du 10 et du 12 de ce mois, de même que celui du directoire de guerre à Torgau du g que vous m'avez fait parvenir. Comme je n'ai pas présentement le temps, vu mes pressantes occupations, ni de lire ni d'entrer en aucun détail sur vosdits rapports, je me dispense d'y répondre, et je vous recommande à cette occasion de ne point me fatiguer par de longs rapports, mais de me marquer en quelques peu de lignes ce que vous croirez absolument devoir parvenir à ma connaissance.1
Federic.
Nach der Ausfertigung.
10537. AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL COMTE DE SCHMETTAU A DRESDE.
Gœrlitz, 16 novembre [1758].
J'ai reçu votre rapport du 12 de ce mois. Les arrangements que vous avez faits à Dresde, sont bons, et j'en suis content au possible. Patience! en quelques jours d'ici tout ira bien.
[Federic]
Ne ménagez rien, ni la cour, ni la ville, et soutenez-vous, le secours ne tardera pas d'arriver.
Das Hauptschreiben nach dem Concept. Der eigenhändige Zusatz befand sich auf der Ausfertigung; diese2 ist gedruckt bei Preuss, Friedrich der Grosse, Urk.-Buch Bd. II, S. 15 u. 16.
1 Ein Schreiben von Cöper an Finckenstein vom 15. November enthält die Mittheilung, dass der König folgenden Tages zum Marsch nach Dresden aufbrechen werde. Zieten sei in Greifenberg, Rebentisch in Landshut zum Schutze der Grenze zurückgeblieben, Fouqué sei auf der Verfolgung des österreichischen Belagerungsheeres bis Neustadt vorgerückt.
2 Liegt uns nicht vor, vergl. S. 261. Anm. 3.