10597. AU PRINCE HENRI DE PRUSSE.
Breslau, 18 décembre 1758.
Dem Prinzen Heinrich werden in der gleichen Weise wie dem Prinzen Ferdinand die Nachrichten über Bewegungen der Oesterreicher in Böhmen mitgetheilt, Auch Prinz Heinrich soll sich bemühen, genauere Informationen einzuziehen.
Soyez sûr que tout se retire d'ici vers Prague. Je ne puis vous rendre raison de ce mouvement, mais il en doit avoir une; peut-être<425> que si vous combinez cet avis avec les nouvelles que vous recevez de vos frontières, vous pourrez parvenir à découvrir le but de l'ennemi; il se peut que ce soit des arrangements intérieurs, mais le plus sûr est de ne s'y point fier et de suivre le bon père Canaye,425-1 qui dit : « Vigilant, vigilant, mes frères! »
Federic.
Nach der Ausfertigung. Der Zusatz, d. h. der vollständig abgedruckte Theil, eigenhändig.
425-1 Canaye, ein Jesuit und Schriftsteller im 17. Jahrhundert. Vorlage „Conay“ . Vergl. zu dem Ausspruch in den Œuvres Bd. XXVI, S. 196. Anm. 1.