10703. AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL COMTE DE SCHMETTAU A DRESDE.
Schmettau berichtet, Dresden 29. Januar: „II est sûr que la jeune cour et même celle de Varsovie ont peu d'espérance, et il paraît qu'elles ne font pas grand cas sur leurs alliés, même pas sur les Russes. Cela va si loin qu'en grande confidence la Princesse m'a fait savoir qu'elle ne souhaitait qu'à parler à Votre Majesté, et je crois qu'elle serait à disposer, si cela ne se peut faire, qu'elle s'explique envers Elle, Sire, par écrit. | Breslau, 1er février 1759. J'ai reçu votre lettre du 29 janvier et vous remercie bien des nouvelles que vous m'y avez marquées, et que j'ai trouvées aussi intéressantes que curieuses; aussi ne manquerai-je pas d'y réfléchir ultérieurement. En attendant, vous flatterez et |
Car, selon ce qui me paraît, elle veut confier tout à Votre Majesté; mais son embarras est qu'elle voudrait cacher à tout le monde son secret, et qu'elle ne voudrait être compromise. Ceci m'a été confié sur mon honneur.“ Schmettau berichtet 'ferner, dass die österreichischen Regimenter in der Gegend von Eger58-1 und in Baireuth Befehl empfangen hätten, Halt zu machen. | cajolerez la jeune cour au possible — quoiqu'en prenant toujours vos sûretés à certains égards — pour l'entretenir dans de bons sentiments et pour nourrir surtout ceux de la Princesse Électorale qu'elle vous a fait marquer à mon égard. Au surplus, mon sentiment sur ce qui regarde les desseins de l'ennemi sur la Saxe, est que les Autrichiens ont voulu marcher d'abord tout droit en Thuringe, mais comme ils n'ont pu être d'accord avec les Français, ils en ont suspendu l'entreprise et fait halte encore. Federic. |
Nach dem Concept.
58-1 Vergl, S. 41.