Je vous recommande donc le susdit major Lefèbvre à votre protection particulière, afin que vous tâchiez de l'assister dans tous les bons conseils et avis qu'il donnera au général Treskow pour la défense de la place, et de disposer celui-ci de les suivre et de les exécuter toujours de bonne grâce. Pour éviter, au surplus, toute jalousie, vous ne ferez semblant de rien à présent de cet ordre que je vous donne.
Federic.
Nach einer von Grant vidimirten Abschrift, unter Vergleichung der theilweise durch Moder zerstörten Ausfertigung; beide im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Berlin.
12030. AN DEN ETATSMINISTER FREIHERRN VON SCHLABRENDORFF IN BRESLAU.
Freiberg, 21. April 1760.
Ich habe Eure beide Berichte vom 16. dieses erhalten und bin von deren Einhalt recht wohl zufrieden gewesen. Was Ihr von Mir in Eurem chiffrirten Schreiben zu wissen verlanget,1 ist wohl zu früh und Mir ohnmöglich, Euch jetzo schon zu sagen, da es davon dependiren wird, wie die Umstände alsdenn sein werden. Ihr könnet indess auf ohngefähr 30000 Mann Infanterie und Kavallerie, etwas mehr etwas weniger, rechnen, desgleichen auf wenigstens 100 Canons und Mortiers nebst dem grossen und abscheulichen Train, so zu solchen gehöret.
Friderich.
Nach dem Concept.
12031. AU PRINCE HENRI DE PRUSSE.
Freiberg, 22 avril 1760.
Je vous adresse à la suite de ma lettre le rapport de Reimer que je viens de recevoir.2 Ce qu'il marque au sujet du mouvement où l'armée russe se mettrait le 10 de mai, mérite confirmation; au moins je n'en crois rien, car Soltykow n'est pas de retour encore, et, quoiqu'il saurait bien arriver que les régiments russes sauraient commencer de s'assembler alors, j'ai cependant tout lieu de douter que leur armée se mettra en marche avant le commencement du mois de juin qui vient.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
1 Schlabrendorff hatte darin angefragt, „wie viel Scheffel Mehl, wie viel Pferde oder Wagens zur Artillerie und an welchem Tag vermuthlich zu Neisse parat sein“ sollten. — Der andere Bericht Schlabrendorffs vom 16., welcher Nachrichten über die Stellung der Russen in Preussen enthielt, liegt nicht mehr vor. Er wurde am 21. April an den Prinzen Heinrich übersandt, da der König die Nachrichten für zuverlässig Welt, mit der Bitte, „de vouloir bien le garder pour vous seul et pour votre unique direction, afin de ne pas faire soupçonner ces bons canaux secrets qui y sont nommés“ .
2 Der Bericht liegt nicht bei.