Donnez la peur à Hyndford, s'il ne promet pas d'abord de me satisfaire sur le point de la Hollande. Mêlez-vous, Monsieur, de vos affaires et ne prescrivez point les voyages que je dois faire ou ne point faire; négociez comme je vous l'ordonne, et ne faites point la mie qui a des c......., s'entend le faible et complaisant négociateur des caprices des Anglais et de l'impertinence des Autrichiens; c'est ce que je prends la liberté de vous conseiller, et de vous faire souvenir en même temps que vous ne tenez pas un langage convenable pour un ministre dont le maître vient de gagner une bataille il y a quinze jours. Federic. | |
Répondez-moi par courrier ce à quoi Hyndford se sera résolu, que je l'aie en deux jours à Glatz ou Neisse.1 |
Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande zweier Berichte.
907. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BRESLAU.
Von dem Cabinetssecretär.
Königgrätz, 26. Juni 1742.
... Was Se. Königl. Majestät wegen der englischen Schulden übernotnmen, wollten Sie sancte erfüllen; dass Sie aber diese zu bezahlen übernommen, sei lediglich aus Reconnaissance, wegen der von dem englischen Ministerio übernommenen Mediation und dabei gehabten Benühung geschehen. Wenn der Hof zu Wien von den Präliminarien abgehen und ein mehres als darin enthalten nunmehro prätendiren wollten, so müssten Se Königl. Majestät solches ansehen, als ob man nicht gewillet sei, den Frieden mit Deroselben zu haben, und deshalb eine Ursache vom Zaune brechen wollte..... Sie vermeinten gegen die Königin von Ungarn ein übriges gethan zu haben, dass Sie ausser den englischen Schulden annoch die Bezahlung der Particuliers, welche in Schlesîen wohnen und Capitalia auf die Steuercasse geliehen, übernähmen2 .... Wann Höchstdieselben alle Schuldenlast auf Schlesien übernähmen, so hätten Sie inclusive der Kriegeskosten das ganze Land mit baarem Gelde erkaufet und würden, wenn Sie als ein Financier calculiren wollten, nicht 3 Procent von Dero Capital haben, noch weniger
1 Podewils antwortet, Breslau 28. Juni: „Hyndford me répondit qu'il n'était pas en état de me donner la réponse qne je lui demandais, avant que de n'avoir reçu celle qu'il attendait de Vienne ...; qu'il avait écrit fortement là-dessus sans déguiser la moindre chose, mais plutôt en leur déclarant que tout serait rompu et que la guerre allait recommencer, si l'on ne se relâchait à Vienne sur cette demande. Il dit : c'est tout ce que j'ai pu faire, et sur quoi j'attends la réponse, il en arrivera après cela ce qu'il plaira à Dieu; j'ai fait mon devoir, dit-il, mais je n'agirais pas en honnête homme, si je voulais flatter le Roi mal à propos; puisque je crains toujours, continua-t-il, que la Reine n'insiste fermement là-dessus.“
2 Vergl. oben S. 196 Anm. 2.