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schädigen. Die hannöverischen und hessischen Truppen werden nach Flandern marschiren.

core il fallait l'indemniser de ses pertes et sur ses droits. Que je crois que l'Angleterre ne pourrait détacher l'Empereur de la France qu'en le satisfaisant, et qu'ainsi, si on pouvait lui procurer les possessions de la maison d'Autriche en Souabe, ou quelque dédommagement, en Italie, ou quelque sécularisation, que je croyais que ce serait un moyen sûr pour le gagner à jamais, et pour donner une forme solide au système de l'Allemagne. Que pour ce qui regarde les troupes d'Hanovre, mon sentiment, est que le Roi est le maître de les faire marcher où bon lui semblerait, mais qu'il serait plus prudent de les laisser dans un pays où elles sont fort bien; que l'Angleterre a rétabli son crédit en Europe, et qu'il me semble que si sa modération en tenait là, elle aurait à coup sûr la gloire d'avoir procuré la paix à l'Europe; mais qu'au contraire, si elle commençait trop légèrement là guerre contre la France, le cas pourrait devenir problématique; mais qu'en général, puisque par ma paix les mains me“ sont liées, je ne puis me mêler de rien, et que du grand jamais le ministère anglais ne devait pas se flatter de m'entraîner dans une guerre contre la France, et que s'ils s'imaginaient d'y parvenir, je les avertis encore d'avance nettement de mes sentiments, pour qu'ils ne puissent point me reprocher que jeles aie trompés par de fausses espérances. En un mot comme en cent, si l'on m'attaque, je saurai me défendre, mais si l'on ne me pousse l'épée aux reins, jamais je ne commencerai. Cest ce que vous pouvez dire à Hyndford, en vous récriant toujours sur notre paix, qui nous lie les mains et nous empêche de pouvoir nous mêler des différends de l'Europe, dont nous serons les paisibles spectateurs.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rand des Berichts.


959. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Von dem Cabinetssecretär.

Potsdam, 17. August 1742.

Ich habe die Ehre Ew. Excellenz hierbei die heut eingekommene Anfrage, betreffend die von Mylord Hyndford gethane Proposition, hierbei zu remittiren. Obschon Se. Königl. Majestät Dero allergnädigste Resolution darauf der Länge nach höchsteigenhändig, dabei geschrieben, so bin dennoch von Höchstderselben befehliget worden, annoch dabei zu melden, dass des Königs Majestät zwar alles, was Sie in dem mit der Königin von Ungarn und Böhmen gemachten Friedenstractat zu thun und zu lassen versprochen haben, sanctissime erfüllen und davon nicht zur Rechten noch zur Linken weichen, auch den. traité d'une alliance défensive mit der Kron Engelland, auch denen Staaten der vereinigten