<268>und ein sonst leicht zu besorgendes Missverstândniss vermieden werde.1 Ich bin etc.
Vous ne sauriez vous imaginer à quel point tout le voisinage d'ici est animé contre la France; c'est une frénésie que je ne conçois pas, et qui va plus loin que la fureur de Roland; je prêche partout la paix et le calme, mais selon toutes les apparences très infructueusement. Le Tencin est à la tête des affaires en France, car il est dans le ministère et un esprit de cet ordre ne reste pas longtemps subalterne. Je crois qu'il vaut mieux que ce soit lui que Belle-Isle pour nos intérêts. J'espère que les eaux me feront du bien, mais à présent je suis bien aise d'avoir mis mes affaires hors de cours et de procès. Adieu.
Federic.
Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändïg.
972. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Von dem Cabinetssecretär.
Aachen, 4. September 1742.
.... „Von der russischen Heirathsaffaire,2 wovon des Herrn von Mardefeld Excellenz letzhin wiederum etwas gemeldet, wollen Se. Königl. Majestät nichts wissen“ ....
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
973. A L'EMPEREUR DÉS ROMAINS A FRANCFORT SUR-LE-MAIN.
Aix-La-Chapelle, 5 septembre 1742.
Monsieur mon Frère et Cousin. Le baron de Lerçhenfeld m'ayant apporté la lettre du 31 août passé que Votre Majesté Impériale m'a fait l'honneur de m'écrire, je ne saurais assez exprimer les sentiments de satisfaction et de reconnaissance de l'attention particulière qu'Elle m'a voulu témoigner par là. Votre Majesté Impériale sera persuadée que mon attachement pour Elle ne finira qu'avec ma vie, et comme mes ministres, à la cour de Londres et à la Haye sont assez instruits de s'employer de leur mieux pour Ses hauts intérêts, je me flatte qu'ils ne travailleront point sans succès, surtout si le maréchal de Maillebois pouvait réussir dans son entreprise, et si le sort des armes se voulait décider quelque part en faveur de Votre Majesté Impériale, étant certain qu'il n'y a que les armes qui donnent le meilleur poids aux négociations.
1 Die Déclaration erfolgt durch ein Schreiben des Grafen Podewils an Hyndford, Berlin 10. September 1742, „où je me suis attaché fidèlement au sens littéral des ordres de Votre Majesté“ (Podewils an den König, 11. Sept.). Vergl. unten S. 271.
2 Vergl. oben Nr. 941 S. 241.