<291>länder den Krieg continuirën müssten, Sie die Garantie der ostfriesischen Succession gewinnen, au bout du compte aber nichts mehr verlieren könnten, als dass Sie endlich den Defensivtractat wie es das englische Ministerium verlangete zeichnen müssten..
Von einem Recht des Königs von Engelland auf die ostfriesische Succession wäre Deroselben nichts bekannt; die Holländer könnten Sr. Majestät Jura darauf nicht zu Wasser machen, überhaupt wäre Deroselben auch mit der Succession und Garantie derer Holländer nicht sonderlich gedienet .... Noch erwähnten Se. Königl. Majestät, wiewohl nur gleichsam en passant, dass, wenn des Königs in Engelland Majestät durch einen besondern Tractat die réciproque Convenances reguliren wollten, man solches gleich vornehmen und diesen Tractat zugleich mit dem Traité défensif reguliren könnte.“ ...
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
1008. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.
Potsdam, 13 novembre 1742.
Mon cher Podewils. La nouvelle que vous me mandez par votre lettre d'hier m'a étonné, quoique je n'en craigne rien.1 Il me semble que l'intrigue a existé réellement, et qu'elle a été tramée peut-être par le cardinal Tencin, pour faire sortir la France de son embarras, pour faire avoir à l'Empereur quelque morceau, et pour se venger en même temps de mon traite de paix. Il se peut qu'on en ait fait la proposition au marquis de Stainville, que celui-ci, surpris d'une proposition sur laquelle il n'était point instruit, en ait fait confidence, à quelque ami anglais, et que par là la mine ait été éventée; que le duc de Lorraine, après en avoir été instruit par Stainville, ait donné dans l'intrigue, et que ce soit la raison pourquoi la cour de Londres est estomaquée contre lui. Aussi tout ce que vous soupçonnez sur l'affaire me paraît bien pensé. Je n'en crains rien, puisque, si même la France, unie avec l'Autriche, Voulait me tomber sur le corps, elle n'est pas en état de le faire, sans que l'Angleterre continue les subsides aux Autrichiens, dont l'Angleterre pourtant se gardera bien alors. On peut conclure de tout ceci que la France nous veut du mal, et qu'il ne faut point se fier à la cour de Vienne. Pour la Russie, je suis persuadé que l'Impératrice est de cœur et d'âme pour le parti français, et le ministère pour nous et pour le parti anglais, et qu'aussi longtemps que le ministère se sou-
1 Es handelt sich un eine Mittheilung Valory's, dass ein portugiesischer Diplomat in Paris dem dortigen Vertreter des Grossherzogs von Toskana einen Vergleich zwischen den Höfen von Versailles und Wien auf Grundlage der Wiedererwerbung von Schlesien durch Oesterreich proponirt habe; Valory war beauftragt, der Versicherung des Portugiesen, dass der Cardinal Fleury um seinen Vorschlag wisse, ein Dementi zu geben. Das Nähere bei Droysen V, 2, 34.