682. AU GÉNÉRAL CHEVALIER DE SAXE A TEUTSCHBROD.
[février 1742.]
Monsieur. Je vous suis très obligé, des avis que vous m'avez donnés par la vôtre du 2 de ce mois. Vous voyez, Monsieur, l'effet que les petits mouvements que nous venons de faire ont opéré sur l'ennemi, et l'effet que nous aurons à espérer, si l'on veut suivre mon conseil. Mais si contre toute attente on voudra difficulter de marcher en avant, j'en serais fâché, et ce ne serait pas ma faute si on n'est pas maître de la Moravie. Je ne saurais vous cacher, au reste, Monsieur, que l'arrivée de M. le comte de Rutowski me donne à penser, et que je trouverai bien étrange si un général d'ailleurs brave et qui aime la gloire voulait arrêter la marche des troupes. Je suis avec toute la considération possible etc.
Federic.
Nach dem Concept.