931. AU GRAND-DUC DE TOSCANE A VIENNE.
Charlottembourg, 21 juillet 1742.
Monsieur mon Cousin. Les circonstances dans lesquelles nous avons été, presque deux années consécutives, m'ont empêché de réitérer à Votre Altesse Royale les assurances de l'estime que j'ai toujours eue <234>pour Sa personne. Ce n'est pas un des moindres motifs du contentement que me donne la paix, de pouvoir Lui écrire; j'ai même toujours cru entrevoir qu'au travers des troubles de la guerre vous distinguiez le personel du politique.
Je puis vous assurer au moins que de mon côté j'en ai toujours usé ainsi, et que je n'oublierai jamais l'amitié qui nous liait lorsque vous étiez à Berlin. Je me flatte que vous en ressouvenez de même, et que vous rendez justice à tous les sentiments avec lesquels je suis à jamais, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse Royale le bon cousin
Federic.
Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.