1238. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 24. October, dass Valory in Betreff der ihm anfangs des Monats gemachten Eröffnungen 3 noch keine Weisungen von seinem Hofe erhalten hat. „Je crois que moins on témoignera de l'empressement de notre côté, mieux cela ira, puisqn'à en juger par les discours que Valory m'a tenus, on s'imagine en France que Votre Majesté a besoin de cette couronne, et qu'on n'a qu'à nous voir venir .... S'ils ne répondent pas comme il faut, .... ce sera une marque sûre qu'ils veulent tirer leur épingle du jeu, à quelque prix que cela soit.“ | Potsdam, 25. October 1743. Es ist auch Meine Intention gar nicht, weder Valory noch die Franzosen deshalb zu pressiren, sondern Ich will sie vielmehr kommen sehen. Sonsten bin Ich nicht besorget, dass die Franzosen einen Particulierfrieden machen und den Kaiser plantiren sollten, denn dieses stehet nicht in ihren Mächten, wenn sie es schon thun wollten.455-4 |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
<456>455-4 In der von Valory am 5. Nov. übergebenen Antwort heisst es: „En supposant que le roi de Prusse ait des expédients pour faire réussir son projet, ils doivent échouer, s'il est indispensablement nécessaire que le Roi (de France) en fasse la dépense: il n'est point en pouvoir de s'en charger et de fournir à des dépenses aussi prodigieuses.“