gelegenen vier geringen churmainzischen Städten und davon dependirenden wenigen Dorfschaften, jedoch ohne der daselbst in Uebung seienden katholischen Religion Nachtheil, abgetreten, oder an deren statt die Reichsstädte Mühlhausen, Wetzlar, Friedberg und Frankfurt a. M. nebst ihren Territoriis als ein völliges Eigenthum eingeräumet, obangeregte vier in Hessen gelegene geringe Städte und Dörfer aber, wie auch das Eichsfeld, gegen ein anderwärts herzunehmendes Aequivalent von dem Erzstift Mainz ertauscht und ebenfalls darzu geschlagen werden sollen.“ | mais je crois que ce sera un point de dure digestion. Et quant aux villes impériales, si nous avons la supériorité, je crois la chose plus facile ; je me réserve la seule clause de garder pour moi et pour ma maison le droit, comme je l'ai toujours eu, de faire des recrues dans ces villes impériales. De tout ceci, je m'engage à garantir tout ce de quoi la maison de Hesse pourra convenir avec la France. |
[Artikel 5]: Der Vertrag soll bis zu ewigen Zeiten geheim gehalten werden. | Ceci est à merveille. Federic. |
Der Erlass nach der Ausfertigung. Die Randbemerkungen zu dem Vertragsproject eigenhändig.
1415. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A PARIS.
Potsdam, 30 avril 1744.
Votre relation du 20 de ce mois m'est parvenue. Quant au lord Clinton,1 il faut que vous preniez garde avec toute la vigilance possible à ses négociations à Paris, pour savoir précisément s'il n'y est tout de bon qu'à cause de son état maladif, ou peut-être même pour l'amour de sa maîtresse. Pour ce qui est des mouvements que les Saxons se donnent à Paris pour se faire valoir à cette cour, j'espère que le comte de Rothenburg, suivant les instructions qu'il en a, ne manquera pas de saisir toutes les occasions pour les dénigrer autant qu'il est possible et pour faire échouer leur dessein. Rien n'est plus faux que le nombre de troupes dont ils font parade, car il ne se monte effectivement, tout au plus, qu'à 32,000 hommes.
Je suis surpris de ce que je n'ai encore rien reçu de votre part au sujet du dernier courrier que je vous ai envoyé, et de l'effet que cela a produit. Vous auriez du moins dû m'en mander quelque chose préalablement, si vous n'êtes pas encore en état de satisfaire entièrement à ma curiosité sur cet article. Au reste, vous tâcherez d'entrer, autant qu'il vous sera possible, dans le détail des affaires, pour pouvoir me dire s'il y a grand cas à faire sur la vigueur que le ministère français fait paraître, et si, avec tous les beaux projets qu'il forme, au fond il n'a pas pourtant plus de penchant pour la paix que pour la guerre, et quels sont là-dessus les véritables sentiments du Roi même.
Federic.
Nach dem Concept.
1 Vergl. Droysen V, 2, 256. 259.