<236>offres de réduction, ils ne négligeront pas de me faire parvenir cent faux avis comme s'ils étaient, en état, d'un jour à l'autre, de s'accommoder avec le roi de France à mon exclusion, et que le meilleur moyen pour moi de l'éviter serait de prévenir mes alliés. En un mot, je vous assure que de mon côté je n'ajouterai aucune foi à de pareilles insinuations, me flattant que le roi de France en fera de même; car le but de nos ennemis doit être de nous séparer; tant que nous restons unis, ils ne sauraient nous résister.
Ce sont en peu de mots les réflexions que j'ai voulu vous communiquer.
Au reste, dès que mes opérations commenceront en Bohême, et que le prince Charles rétrogradera vers la Bohême, j'écrirai d'abord au prince Guillaume de Hesse-Cassel, pour qu'il fasse marcher alors incessamment les troupes hessoises,1 au travers de la Franconie, tout droit vers lesfrontières de la Bavière, pour s'y joindre là aux troupes impériales, puisqu'on perdrait trop de temps, si celles-ci ne voulaient pas se mettre en marche vers la Bavière plus tôt que les troupes hessoisesne les auraient jointes.
Federic.
Nach dem Concept. Der letzte Absatz und das Datum von Eichels Hand, das übrige von der Hand des Königs.
1528. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Von dem Cabinetssecretär.
Potsdam, 5. August 1744.
Der König befiehlt „dass der Herr von Mardefeld mit dem allerfordersamsten von allen Umständen, so wegen der Schickung des p. von Wallenrodt nach Warschau geschehen, ingleichen von der Commission, so der Obriste von Winterfeldt nach Dresden bekommen, nicht weniger von dem, so der General Graf Dohna in Wien declariren soll, ganz ausführlich informiret werden möchte, wobei derselbe instruiret werden sollte, wie er sich zu verhalten habe, wenn sowohl die Sachsen wegen des Durchmarsches der Königlichen Truppen, so Sie als Auxiliaires dem Kaiser überlassen, als auch die Oesterreicher wegen der von Sr. Königl. Majestät gethanen Declaration in Russland Geschrei machen und den russischen Hof gegen des Königs Majestät irritiren wollten, und welchergestalt derselbe alles, was die Oesterreicher und Sachsen deshalb etwa releviren wollten, ablehnen könnte. Wie denn nichts vergessen werden müsste, was ihn au fait zu setzen dienen könnte“ ...
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
1 Noailles hatte den König in seinem Schreiben vom 22. Juli um diesen Schritt ersucht.