avec lui en matière, en lui faisant glisser adroitement qu'il ne tenait qu'au Roi son maître de partager avec Votre Majesté la gloire et le mérite de calmer et de pacifier les trouble's dont V Allemagne est accablée,.. Il me répondit naturellement qne c'était un article qui méritait réflexion ... et qu'il se réservait un second entretien làdessus avec moi ... La demande du passage l'embarrassait infiniment, et il s'excusait de n'être point en état de faire une réponse sur le champ.“ | Art, wiederum etwas von einer dem König von Polen zu machenden Convenienz gegen seinen Beitritt, ohne dass derselbe aber nöthig habe, seine Truppen agiren zu lassen, ein und ander Wort glissiren lassen kann. Den Grafen Brühl soll er äusserst cajoliren, um ihn zu gewinnen. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1539. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A FRANCFORT-SUR-LE-MAIN.
Berlin, 10 août 1744.
Ayant fait insinuer tant au roi de Pologne qu'au ministère de Dresde les lettres réquisitoriales de l'Empereur, touchant la marche de mes troupes par la Saxe vers les frontières de la Bohême, l'officier que j'ai envoyé à Dresde m'a mandé que le ministère saxon tâchait de faire toutes les difficultés possibles pour que les troupes que j'ai données à l'Empereur comme auxiliaires, ne passassent si tôt par la Saxe.
Entre autres choses dont ledit ministère se plaint, il y a que les lettres réquisitoriales n'ont été présentées qu'au 6 de ce mois. Ce dit ministère a déclaré même de vouloir envoyer un courrier vers son ministre auprès de l'Empereur, pour s'en plaindre. Comme vous êtes assez au fait des raisons pourquoi je n'ai pas pu insinuer plus tôt ces dites lettres, vous ne manquerez pas de le représenter à l'Empereur et de lui insinuer que j'espère que Sa Majesté Impériale ne voudra pas donner tort à ses troupes auxiliaires, mais qu'elle voudra plutôt parler d'un ton haut à l'envoyé de Saxe, en lui donnant à entendre que, si l'on difficultait le passage de mes troupes, l'Empereur serait obligé de se servir de moyens efficaces pour soutenir son autorité sur ce sujet. Vous ne manquerez pas de me faire votre rapport sur ce sujet au plus tôt possible. Et, sur cela, je prie Dieu etc.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
1540. AU PRINCE GUILLAUME DE HESSE-CASSEL A CASSEL.
Berlin, 10 août 1744.
Monsieur mon Cousin. Comme le temps est à présent arrivé, et que les circonstances critiques demandent absolument que je fasse à la fin ma levée de bouchers, tant pour rétablir les affaires de l'Empereur que pour remettre la paix et le calme à l'Allemagne, j'ai bien voulu envoyer