„<114>zösischen Prediger, Monsieur Achard, sprechen, und überlegen möchten, ob man nicht von diesen besonderen Umständen in soweit profitiren könne, um ganz unter der Hand und durch die Correspondance derer französischen Herrn Prediger eine Anzahl bemittelter Protestanten oder anderer nützlicher Leute im Languedoc zu disponiren, ihr Domicilium dorten zu ändern, und sich in Sr. Königl. Majestät Landen zu etabliren. Ich habe . . . dabei nur noch erwähnen wollen, wie Mich erinnere, dass vor einiger Zeit ein gewisser französischer Prediger Namens Aurithon deshalb verschiedentliches an Se. Königl. Majestät geschrieben und vieles promittiret hat.“
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
1785. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 6. April : „Avant que de pouvoir travailler à un projet du traité définitif de paix, il faudra nécessairement que je sois informé distinctement et positivement sur les intentions de Votre Majesté: | [Neisse, 9 avril 1745.] |
1° Au sujet de l'artillerie qu'on a menée de Prague à Vienne, ou que Votre Majesté peut avoir amenée de là et du reste de la Bohême en Silésie: si on doit offrir la restitution réciproque ou bien passer cet article sous silence? | Passez cela. |
2° Touchant l'évacuation des places que Votre Majesté ou les ennemis occupent encore . . . puisque la paix de Breslau doit servir de base, et qu'il faudra rendre à chacun ce qui lui appartient selon cette paix. | Ceci est bon. |
3° Sur les effets de ramnistie de part et d'autre pour les personnes et biens arrêtés et séquestrés, où l'on réclamera encore la disposition de la paix de Breslau, en vertu de laquelle la cour de Vienne ne démordra pas que le tout ne soit rétabli in integrum, comme cela a été avant la dernière rupture, tout comme Votre Majesté doit insister à l'égard de Tumhout1 et les vaisseaux et les effets confisqués à Ses sujets par les armateurs d'Ostende. — Il faudra insister aussi de notre côté | Ne pressons pas cet article, car les Bohémiens ont été plus fidèles à la reine de Hongrie que ceux de la Haute-Silésie ne me l'ont été. |
4° Que la cour de Vienne renonce absolument à toute sorte de prétentions qu'elle a faites depuis la paix de Breslau |
1 Vergl. S. 117 Nr. 1789.