<135> ses ennemis : et vous n'auriez pas le courage de cette femme, lorsque nous n'avons point encore perdu de batailles, qu'il ne nous est arrivé aucun échec, et que par un heureux succès nous pouvons remonter plus haut que nous n'avons jamais été.
Adieu, mon cher Podewils, fortifiez votre courage, donnez-en aux autres, et si malheur arrive — dont certainement je souffrirai le plus — soutenez-le avec magnanimité et avec constance: c'est tout ce que Caton et moi peuvent vous dire.
Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
1811. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Nieder-Pomsdorf, 27. April 1745.
Mein lieber Geheimer Etatsminister Graf von Podewils. Ich habe Euch zwar in Meinem vorigen1 selbst geschrieben, dass, wenn es mit denen Sachsen zu einer öffentlichen und vollenkommenen Ruptur kommen müsste und würde, sodann die Dicasteria und Kanzeleien nach Magdeburg mehrerer Sicherheit halber von Berlin verleget und transportiret werden müssten. Nachdem Ich aber ferner überleget habe, wie auf den Fall eines offenbaren Krieges mit Sachsen Ich zu risquiren hätte, dass indem Ich in Schlesien agirte, die Correspondance von hier aus nacher Magdeburg sowohl sehr weitläuftig als auch vielleicht unsicher sein oder gar interrumpiret werden dörfte, so habe Ich anderweitig resolviret, dass auf mehrgedachten Fall alsdenn die dortige Kanzeleien und insonderheit das Generaldirectorium, anstatt nach Magdeburg zu legen, nach Cüstrin geleget und transportiret werden müsste. Ich habe Euch auf solchen Fall mit anliegender ostensiblen Ordre versehen wollen, damit Ihr sodann davon Gebrauch machen könntet. Ich bin etc.
Friderich.
Nach der Ausfertigung.
1812. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A AUGSBOURG.
Nieder-Pomsdorf, 29 avril 1745.
J'ai reçu par votre courrier les mauvaises nouvelles que vous m'avez mandées par rapport à la triste situation des affaires de l'électeur de Bavière. Comme tout ce qui a dû se faire, touchant l'accommodement entre l'Électeur et la cour de Vienne, sera fait et conclu avant que la présente vous soit parvenue,2 je ne puis rien vous répondre, sinon que de vous renvoyer aux instructions que je vous ai déjà envoyées sur ce cas-là, et de savoir à présent si l'Électeur a obtenu ce que le comte de Preysing vous a promis touchant mon inclusion sur le pied de la paix
1 Nr. 1809.
2 Die Unterzeichnung erfolgte am 22. April zu Füssen. Siehe Wenck, Codex juris gentium II, 180; Aretin, Verzeichniss der bair. Staatsverträge, S. 403.