agir en faveur de la reine de Hongrie ... Le mal est qu'on ne peut compter sur les discours du Roi ... Ce serait un grand coup pour ce pays et pour les intérêts de Leurs Altesses Royales, si l'on pouvait retenir le Roi dans le parti français.“ |
Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande der Berichte. Demgemäss Immediaterlasse an Mardefeld, Klinggräffen und Finckenstein, Divetz 8. Juli.
1903. AU CONSEILLER ANDRIÉ A HANOVRE.
Andrié berichtet, Hannover 27. Juni: „Je n'ai pu amener Harrington au point de se déboutonner le premier . . .; au contraire, ce secrétaire d'État m'a fort pressé pour savoir si je n'avais rien à lui dire par ordre de Votre Majesté; et, sur ce que je lui ai témoigné qu'il me paraissait que ce serait à lui de m'apprendre les idées de Sa Majesté Britannique dans la circonstance, vu la situation glorieuse dans laquelle Se trouvait présentement Votre Majesté, il m'a répondu qu'il n'aurait absolument rien à me dire ; que premièrement il ne fût informé qu'elles étaient les idées de Votre Majesté, et que tout ce que je lui avais déjà insinué là-dessus, aussi bien que ce que je venais de faire, ne portait à rien, à moins que je n'eusse ordre de lui parler au nom de Votre Majesté.“ | Camp de Divetz, 8 juillet 1745. La manière dont milord Harrington s'est expliqué envers vous, dans l'entretien que vous avez eu avec lui et dont vous me rendez compte par la relation que vous m'avez faite le 27 du juin dernier, me confirme tout-à-fait dans les soupçons que j'ai eus depuis assez de temps et dont je vous ai instruit par mes précédentes. N'ayant rien plus à espérer du ministère anglais par rapport à l'affaire de la paix, le meilleur sera que vous ne parliez plus de rien et attendiez votre rappel, que je vais vous envoyer dans peu. Et sur cela, je prie Dieu etc. Federic. |
Nach der Ausfertigung.
1904. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A LILLE.
Camp de Divetz, 8 juillet 1745.
Pressez seulement les subsides, c'est ce qui nous importe le plus dans le moment présent. Et comme il paraît que les Autrichiens ont intention de faire avec la France une paix à mon exclusion, il faut faire entendre aux ministres que j'étais informé de ce dessein, mais qu'en même temps j'étais si tranquille sur la fermeté du roi de France que j'étais persuadé qu'il ne fera aucune démarche à la déprédation de mes intérêts.
Fr.
Nach dem eigenhändigen Concept. Das Datum aus der Abschrift der Cabinetskanzlei.