présentes, et depuis que je lui ai serré le bouton sur ce qui convient à Votre Majesté, je n'en ai point encore de réponse, parcequ'il craint de s'expliquer sur des choses dont il voudrait que Votre Majesté eût tout le poids . . . Malgré que ce ministère pense comme il fait sur les affaires d'Allemagne et se conduise aussi pitoyablement envers Votre Majesté, Elle peut compter cependant que, si Elle est forcée d'en venir à un accommodement avec la reine de Hongrie, cette cour et cette nation crieront comme des aigles contre Votre Majesté.“ | ein Genüge gethan, und wenn des Königs Majestät gar keinen Vortheil von ihrer Alliance haben sollten, so wäre ja wohl nichts schlechters zu erdenken, als dass man ihrerseits mit Deroselben, die der stärkste, beste und beständigste Alliirte von Frankreich gewesen, auf solche Art umgehen wollte. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretars.
2047. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Mardefeld berichtet, Petersburg 19. October: „Assurément la victoire signalée remportée près de Prausnitz a fait une impression favorable sur tous les esprits, et je doute fort que le Grand-Chancelier . . . parvienne à son but de faire agir l'Impératrice, l'année qui vient, en faveur de la Saxe ... Je lui fis connaître avant-hier que le glorieux événement qui venait d'arriver ne changerait en rien la façon de penser de Votre Majesté ni Sa modération; à quoi il répondit: Das ist sehr gut. Ce ministre désire aussi de son côté la paix, pour se voir hors d'embarras, n'ayant guère d'espérance de pouvoir entraîner l'Impératrice dans ses vues contre Votre Majesté, cet empire ne se trouvant nullement en état de commencer une guerre légèrement, d'autant moins que les dernières nouvelles de Constantinople, aussi bien que de la Perse, font craindre un prompt accommodement entre les deux puissances orientales.“ | Berlin, 2. November 1745. Wegen einliegender Relation haben des Königs Majestät dem Herrn von Mardefeld zu antworten befohlen, dass alles, so er gemeldet habe, gut wäre, und er nur continuiren solle, das dortige Ministerium zu berciren und stille zu halten, auch selbigem zu inspiriren, wie Se. Königl. Majestät keine andere als friedfertige Sentiments hätten, hergegen die Oesterreicher und Sachsen nichts anders wie Lärm, Weitläuftigkeiten und Unruhe sucheten. Eichel. |
Nach der Ausfertigung.
2048. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Potsdam, 5. November 1745.
Der König befiehlt, Chambrier anzuweisen, „wie derselbe nur fernerhin insistiren und bestehen sollte, dass, ob wir schon den besten Willen von der Welt hätten, wir dennoch nichts weiter als den guten Willen haben, und nicht agiren könnten, weil es uns an dem dazunöthigen Nervo fehlete, folg-