Ferner dem Andrié die letzte Dépêche von Chambrier wegen des Cardinal Tencin zu communiciren,1 mit dem Beifügen, weil man sähe, dass die Sachen anfingen, serieuser zu werden, als sie im Anfange gewesen, überdem der Abbé de La Ville aus dem Haag rappelliret worden wäre (daraus sehr wohl zu schliessen wäre, dass die Franzosen was auf die Holländer tentiren wollten), auch endlich aus allen Umständen schiene, dass Engelland und Holland von den Oesterreichern, Se. Königl. Majestät aber von Frankreich verlassen werden würden, so glaubten Se. Königl. Majestät, dass es jetzo die höchste Zeit wäre, dass die Engelländer, Holländer und Se. Königl. Majestät eine defensive Allianz machten, wozu dann mit der Zeit mehrere accediren könnten, und weil die Umstände so wären, dass Se. Königl. Majestät nicht glauben könnten, dass es zum Frieden käme, und es ganz und gar entfernet davon aussähe, so wäre es die höchste Zeit, dass die Engelländer sich determinirten, mit was vor Succurs sie Mir beistehen wollten.
Ferner noch dem Andrié zu schreiben, Ich communicirte ihnen fidèlement, was Ich vor Nachrichten bekäme, also hoffte auch, dass sie Mir gleichfalls fidèlement communiciren würden, was sie vor Nachrichten bekämen, die Mich angingen. Auch hoffte Ich, dass wenn der König von Engelland mit Frankreich in eine Negociation entrirte, solches nicht mit Meiner Exclusion geschehen und es bei der Convention von Hannover bleiben würde. Ferner noch Harrington zu insinuiren, den Hyndford zu instruiren, der Russischen Kaiserin zu sagen, dass Ich mit den Seepuissances Meine Convention gemachet, und es Engelland heb sein würde, wann die Russische Kaiserin accediren wollte.
2) Soll an Mardefeld geschrieben werden, des Königs Majestät fänden seine Relationes sehr leicht; er tractire 15,000 Russen vor nichts: ob er glaubte, dass Dieselbe wie Louis XIV überall 20,000 Mann entgegen setzen könnte.
3) An Chambrier: Sollte suchen zu insinuiren, dass die Franzosen
1 Chambrier berichtet, Paris 29. October: „On continue à m'écrire de Fontainebleau que sûrement le cardinal de Tencin est en négociation avec le Grand-Duc (de Toscane) pour faire un accommodement particulier dont Votre Majesté sera le sacrifice, ledit cardinal se flattant que de ce premier accord il parviendra à une paix générale, et que la réussite d'un tel ouvrage le mènera à être premier ministre. On m'ajoute que dans un conseil qui s'est tenu, le cardinal de Tencin a dit au Roi son maître que la bonne foi avait des bornes, comme toutes les autres vertus, au delà desquelles elle devient une faiblesse ruineuse. Enfin on m'écrit que le cardinal de Tencin et les autres ministres de conférence paraissent si tranquilles sur la conduite du roi de Prusse qu'il faut qu'ils comptent fortement pouvoir sortir d'affaire sans le roi de Prusse. L'on m'ajoute que le roi de France regagnera par cet accord Ypres et Furnes, et que la reine de Hongrie consentira à ce que l'infant Philippe possède les duchés de Parme et de Plaisance, avec quelque petite partie du Milanais, pourvu que la France ne prenne nulle part dans les efforts que le Grand-Duc et la reine de Hongrie feront avec la Saxe pour réduire Votre Majesté et lui arracher la Silésie .. . Les ennemis de Votre Majesté se flattent de lui attirer tant d'affaires sur les bras qu'il faudra à la fin que Votre Majesté succombe.“ Vergl. dazu Arneth III, 130 ff.