1681. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Der Legationssecretär Beck berichtet, in Vertretung des kranken Grafen O. Podewils, Haag 5. Januar: „Presque tous les régents que j'ai vus depuis quelques jours, ont commencé d'eux-mêmes à parler des affaires publiques, en me demandant s'il n'y avait pas moyen de parvenir à la pacification .... Le pensionnaire Alewyn me dit qu'il avait représenté à plusieurs régents qui pensaient qu'il fallait travailler à la pacification générale, qu'il vaudrait mieux de commencer par celle d'Allemagne, laquelle étant faite, celle d'Italie s'en suivrait, pour ainsi dire, d'elle-même.“

Berlin, 11. Januar 1745.

Es soll ihm mit der ersten Post geantwortet werden, dass alles ganz gut sei, aber mit dem Reden vom Frieden wäre es nicht ausgerichtet, und wenn die gutgesinnten Staaten nicht mehr thun wollten, als im Haag promeniren und sprechen, so würde sobald noch kein Friede werden.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.