1728. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

<54>

Wallenrodt berichtet, Königsberg 24. Januar: Der Graf von Saint-Severin habe in Erfahrung gebracht, dass Brühl den Höfen von Wien und London gegenüber vollständig gebunden sei „par raison que la dernière avait trouvé moyen, il y a déjà un an de passé, de découvrir et de prendre entre ses mains des papiers en originaux et très authentiques qui dénotent clairement bien des manigances et principalement une conduite intéressée de ce ministre à un point qu'il s'agirait de la fortune et de sa tête même, si ces papiers venaient à la connaissance du Roi son maître. La chose doit être de telle conséquence que la cour de Londres a jugé à propos de les remettre entre les mains de la reine de Hongrie, pour que cette Princesse soit en état de brider par là en toute rencontre le comte de Brühl et de faire de lui tout ce qu'elle en veut. Aussi s'est-elle très avantageusement prévalue de ces documents, en envoyant, il y a quelque temps, une certaine fille âgée, comtesse de Klencke, à Dresde, jadis dame

Berlin, 17. Februar 1745.

Der König befiehlt, Chambrier in Kenntniss zu setzen, „wie Höchstdieselbe Deroseits alle Facilite beigetragen hätten, sodass, wenn Valory nicht nach Wunsch reussirte, solches Sr. Königl. Majestät Schuld gewiss nicht sein würde; mehr aber als Repraesentationes wüssten Se. Königl. Majestät nicht zu thun. Sie glaubten inzwischen nicht, dass der Marquis de Valory reussiren würde, da der Graf von Brühl von der Königin von Ungarn gänzlich gewonnen wäre. Es solle deshalb dem p. Chambrier die ganze Anecdote, so der Herr von Wallenrodt aus Preussen wegen des Grafen Brühl berichtet, geschrieben werden, mit dem Beifügen, dass M. de Saint-Severin nebst Sr. Königl. Majestät

d'honneur de l'Impératrice, mère de la reine de Hongrie, femme d'esprit et très intrigante, même proche parente de la comtesse de Brühl, pour en faire bon usage et en parler naïvement au comte de Brühl. . . . Malgré bien des dépenses nous n'avons pas pu pénétrer dans d'autre détail, si ce n'est que la chose en soi-même est véritable, et je fus confirmé de sa réalité par une dame proche parente de la comtesse Klencke, qui ne tient pas la plus petite place à la cour de Dresde.“

Minister in Warschau Gelegenheit gefunden hätten, diese secrete Anecdote zu entdecken.“

Eichel.

Nach der Ausfertigung.