1841. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE EICHEL A CAMENZ.

Mardefeld berichtet, Petersburg 27. April: „Jusqu'à présent, l'Impératrice n'a pas pu être persuadée à recevoir les subsides que les Puissances maritimes offrent. Il n'y a pas non plus la moindre apparence que les troupes marcheront . . . Cependant, comme les choses changent ici de jour au lendemain, l'on ne peut-être caution de rien . . . Les deux chanceliers continuent à m'assurer que l'Impératrice ne consentira jamais à ce que la couronne de Pologne demeure à Sa Majesté Polonaise, si la dignité Impériale lui échoit. Les mêmes ministres me promettent une prompte réponse de la part de l'Impératrice.157-2 Je le croirai quand je le verrai.“

[Camenz, 15 mai 1745.]

Je vois bien l'embarras où il est, mais je ne saurais que faire; car il n'a à faire qu'à des traîtres et à des perfides; mais si l'on trouve moyen de les retenir encore pendant six mois, je crois avoir assez gagné.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts. Demgemäss Immediaterlass an Mardefeld, Camenz 15. Mai.



157-2 Auf das Schreiben des Königs vom 26. März, oben Nr. 1759 S. 87.