1852. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.
Camenz, 21 mai 1745.
Mon cher Podewils. Je suis dans la joie de mon cœur de ce que vous me venez d'apprendre. Je me flatte que la fierté de mon cher oncle sera un peu tempérée par la nouvelle de la défaite de son parti. Si le prince de Conty bat encore M. d'Aremberg, et que nous battions ici les Autrichiens, il y aura bien des ennemis de battus; mais en cas que le prince de Conty soit heureux, je suis persuadé que cela fera nécessairement que les fiers Anglais seront obligés de nous rechercher. Ne nous flattons de rien, voyons venir les événements successivement, et surtout, profitons de tous les occasions, favorables. Je suis votre fidèle ami. Adieu.
Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändîg.