1860. AU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.
Podewils und Borcke berichten, Berlin 22. Mai : „Par rapport à l'intention de Votre Majesté de rappeler Son ministre de la Haye et d'y envoyer le sieur d'Amnion, nous osons représenter à Votre Majesté que, quoique la république de Hollande n'ait point mérité que Votre Majesté y laisse plus longtemps un ministère d'un certain caractère, . . . nous croyons pourtant que les intérêts de Votre Majesté | [Camenz, 26 mai 1745]. Mais, mon Dieu, que l'on m'obéisse du moins une fois dans ma vie. Si je ne puis être maître des grandes affaires, je veux du moins l'être de celles qui me sont particulières.176-2 Fr. |
demandent qu'Elle suspende au moins ce rappel pour trois ou quatre mois, jusqu'à ce qu'on voie plus clair dans la violente crise des affaires d'à présent.“ | |
Beess und Cagnony berichten, Dresden 22. Mai, dass sie den neuen französischen Gesandten Vaulgrenant ersucht haben, den sächsischen Ministern zu erklären: „Que Sa Majesté Très Chrétienne serait indispensablement obligée, au cas que leurs troupes entrassent en Silésie, de fournir à Votre Majesté un pareil nombre de troupes auxiliaires, pour être employées par Elle de la même façon que la reine de Hongrie disposait du secours de la Saxe.“ Mais ce ministre se retrancha d'abord sur son défaut d'instruction. | A Chambrier: De vives représentations là-dessus au ministère français. Fr. |
Nach der eigenhändigen Aufzeichnung (praes. 29. Mai) am Rande der Berichte.
176-2 Unter dem 1. Juni erhält Graf Otto Podewils sein Abberufunngsschreiben; Amnions Creditiv als Resident ist vom 8. Juni.