1930. AU MARQUIS DE VALORY, ENVOYÉ DE FRANCE, A NEDILISCHT.
Camp de Chlum, 22 juillet 1745.
Monsieur. J'ai tout-à-fait ignoré jusqu'à présent les inconvénients dont vous vous plaignez dans la lettre que vous venez de me faire, personne ne m'ayant rien dit; et pour que vous n'ayez pas à vous plaindre, je vous ferai donner une sentinelle. Si vous vous trouvez mal ici, je ne saurais vous donner d'autre conseil que de vous en retourner à Berlin, où vous savez que tous les ministres étrangers sont. D'ailleurs, je ne pense pas qu'il y aura grande chose à négocier pour vous, d'autant plus que la France a fait jusqu'ici la sourde oreille sur le sujet des subsides, ainsi que je n'ai pas grand lieu d'être content. Je suis etc.
Federic.
Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.
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