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pour ce poste, depuis que le baron de Beckers, qui Lui est fort attaché et à qui on peut se fier hardiment, est accrédité de cette cour ici.“

durch jemanden zu thun, der selbst in München in loco ist, und welcher gleich diese und jene sich etwa findende Dubia mündlich heben kann, die sonst durch eine Correspondance von etlichen Wochen gehoben werden müssen. Er soll also sehen, ob wir uns nicht des pfälzischen Ministers zu München, dessen Namen und Eigenschaften Ich doch nicht kenne, ebenso bedienen können, wie sich der bairische Hof des Baron Beckers bei uns bedienet.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


2275. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Graf Otto Podewils berichtet, Wien 6. Juli: „Il m'a été assuré que les Puissances maritimes ont envoyé à cette cour un projet de paix, concerté entre elles sans la participation de la France; que, ce projet ayant été examiné au conseil, il y a eu quelques débats, mais qu'il avait été résolu à la fin de le rejeter absolument et d'en témoigner même du ressentiment auxdites Puissances. On remarque même que le sieur Robinson, qu'on fête ici autrement beaucoup, n'est plus vu de si bon œil, et que les deux derniers jours ni l'Empereur ni l'Impératrice ni lui ont parlé.“

Rheinsberg, 14. Juli 1746.

Dem Herrn Grafen von Podewils zu Wien soll nach Sr. Königl. Majestät Befehl auf dessen letztere Relation geantwortet werden, wie er nicht glauben möchte, dass der wienersche Hof sich mit den Engelländern brouilliren würde noch wolle, denn ersterer so hoch noch nicht wäre, dass er sich der letzteren passiren könnte. Es möchte vielleicht sein, dass hier und da einige kleine Bisbilles unter ihnen kämen, aber zu einem rechten Ernst würde es noch nicht gelangen“ …

Eichel.

Auszug aus der Ausfertigung.


2276. AU MINISTRE D'ÉTAT BARON DE MARDEFELD A SAINT-PÉTERSBOURG.

Mardefeld berichtet, Petersburg 28. Juni, auf den Erlass vom 13. Juni, oben S. 110; „Je m'aperçois avec douleur que je me trouve présentement dans le cas des forfaits involontaires et qui me sont inconnus, ayant forcé contre Son inclination le plus accompli des monarques et le plus grand des humains à me menacer de l'échafaud, malheur extrême qu'aucun de Ses sujets nobles n'a essuyé jusqu'ici. Jugez, Sire, de mon affliction ou plutôt de mon désespoir, n'ayant reçu

Potsdam, 15 juillet 1746.

J'ai bien reçu les relations que vous m'avez faites le 28 du mois de juin passé. Est-il possible qu'un homme d'esprit comme vous, et qui devrait être bien persuadé de la grande confiance que j'ai en lui et en sa fidélité, ait pu prendre si fort de travers le passage dont je me suis servi dans la dépêche