<152> m'ayant déjà assez expliqué là-dessus avec la cour de Dresde dans une autre occasion.

Touchant la médiation armée sur laquelle il paraît que le marquis d'Argenson veuille toujours insister, je vous ai déjà mandé mes raisons pourquoi elle n'est pas possible, et j'approuve fort ce que vous avez répondu là-dessus. Mais si la France voulait tant se dépiter pour cela contre moi, jusqu'à oublier ses véritables intérêts, en voulant me sacrifier à ses vues, elle peut être sûre que je saurais faire tout un autre arrangement à mon jeu; à quoi pourtant je ne veux croire, jusqu'à présent, qu'elle songe tout de bon. En attendant, vous y serez fort attentif et ne manquerez pas de m'en avertir, d'abord que vous vous en douterez de la moindre chose.

Federic.

Nach dem Concept.


2298. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Breslau, 29. Juli 1746.

„Da des Königs Majestät mit der heute allhier eingekommenen Relation des Herrn Andrié vom 19. dieses Monats das Project der von dem Mylord Harrington vorgeschlagenen und verlangeten Acte d'acceptation1 erhalten... so haben Höchstdieselbe darauf declariret, auch Ew. Excellenz zu melden befohlen, wie Sie von dem Entwurf der vorermeldeten Acte d'acceptation ganz wohl zufrieden wären und kein Bedenken trügen, solches ausfertigen zu lassen, wenn die Acte von der englischen Garantie über die sämmtliche Possessions Sr. Königl. Majestät sowohl, als insbesondere über Schlesien und Glatz, so wie Höchstdieselbe solche verlanget hätten,2 ausgefertiget und dagegen ausgewechselt würde, damit dergestalt die englische Garantie einmal berichtiget und darauf auf die von Holland und die vom Reiche mit so viel mehrerem Nachdruck gearbeitet werden könnte“ ...

Eichel.

Auszug aus der Ausfertigung.


2299. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS, ENVOYÉ EXTRAORDINAIRE A VIENNE.

Graf Otto Podewils berichtet, Wien 23. Juli, über eine Unterredung mit dem englischen Gesandten in Betreff des österreichisch-russischen Bündnisses. „Robinson m'a paru se couper souvent. Tantôt il me dit qu'il n'était informé de rien, tantôt

Breslau, 1er août 1746.

La dépêche que vous m'avez faite le 27 du mois de juillet passé, m'a été rendue. Ce que le ministre de Hollande vous a dit concernant



1 Die preussische Empfangsacte der englischen Garantie für Schlesien, in der Harrington eine präcisirte Zusage für die Bezahlung der englischen Schuldforderungen wünschte.

2 Vergl. S. 105 Anm.