Ich glaube, dass sie wohl aus Furcht wegen Schleswig üblen Willen haben, aber nicht das Vermögen, solchen zu realisiren. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
2701. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.
Stettin, 14 juillet 1747.
J'ai reçu la lettre que vous m'avez faite du 11 de ce mois, sur laquelle je veux bien vous dire que je sais par de fort bons canaux que la victoire que les Français viennent de remporter sur l'armée alliée aux Pays-Bas, n'est pas si décisive que les Français l'ont d'abord prônée, et que, si ceux-ci ne profitent pas de la première consternation des alliés, en allant tout droit à Mastricht, il s'en pourrait aisément arriver que l'on en vînt à une seconde bataille plus décisive que celle-ci. Et sur ce, je prie Dieu etc.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
2702. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A BRUXELLES.
Stettin, 14 juillet 1747.
Je ne vous fais la présente que pour accuser les dépêches que vous m'avez faites du 28 du mois dernier et des 2, 4, 5 et 6 de ce mois. Je ne suis point surpris quand vous me mandez que les Brabançons sont autrichiens jusqu'à la moëlle et qu'ils voudraient bien être débarrassés des Français et du maréchal de Saxe; ordinairement on n'est pas fort prévenu pour ceux qui nous font payer des contributions, mais les Français se soucieront fort peu de l'affection ou de la haine de ces gens, pourvu qu'ils paient bien.
Je crains que l'avantage que l'armée française vient de remporter sur celle des alliés, ne soit pas si décisif qu'on l'a prôné d'abord, et que, si l'on ne profite pas de la première consternation des alliés pour prendre Mastricht, il se pourrait aisément arriver qu'il y eût encore une affaire entre les deux armées pendant cette année-ci.
Federic.
Nach dem Concept.
2703. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A DRESDE.
Stettin, 14 juillet 1747.
J'ai reçu vos dépêches du 4 et du 8 de ce mois. Sur ce qui regarde le mémoire à donner relativement aux ordonnances que je fais donner aux officiers saxons dans mes États,1 je veux bien vous dire
1 Vergl. S. 329. 370.