2240. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 4. Juni: „Valory m'a lu une dépêche du marquis d'Argenson du 24 mai, … par laquelle ce ministre lui répond, sur l'article de la Suède, qu'il pourrait assurer Votre Majesté que la France fournirait à son ambassadeur dans ce pays-là les fonds nécessaires et suffisants pour faire tomber l'élection d'un maréchal de la Diète sur un homme sur lequel on pourrait compter … Qu'on ne croyait au reste point en France que l'Angleterre voulût donner ou offrir des subsides à la Suède, dans un temps ou | Pyrmont, 7. Juni 1746. Er möchte an Valory deshalb nur danken, und würde es sehr à propos sein, gegen die Diète und währender Diète alle Efforts zu thun, damit die Kron Schweden nicht ganz den Russen unter die Hände geriethe. |
l'argent n'était pas si commun en Angleterre, ni que par conséquence la France eût besoin d'augmenter pour cela ses dépenses, qui devenaient déjà fort considérables par les subsides du Danemark et ceux qu'on serait obligé de payer à la Saxe, de laquelle on s'était assuré.“ D'Argenson hat ferner an. Valory geschrieben, dass man in Berlin eine Denkschrift über die Verhandlungen mit Holland mittheilen werde. „Qu'il serait à souhaiter que Votre Majesté voulût bien parler un peu de grosses dents — telles étaient les paroles du marquis d'Argenson — à la Hollande, pour lui faire entendre qu'elle devrait accepter enfin les offres raisonnables de la France, et que Votre Majesté ne saurait voir plus longtemps avec indifférence la continuation de la guerre si près des frontières de Ses Etats. Je répondis à Valory que les Puissances maritimes demandaient précisément la même chose à Votre Majesté contre la France; mais comme Elle l'avait refusé aux uns, j'avais Heu de croire qu'Elle en ferait autant des autres, et qu'il me semblait que les uns étaient aussi peu fondés que les autres à exiger une pareille démarche de Votre Majesté. Mais que je croyais qu'Elle S'employerait toujours volontiers à moyenner la paix générale, si Elle en était requise par les parties belligérantes.“ Endlich hat Valory einen nach Warschau bestimmten geheimen Agenten Frankreichs, Castera, auf der Durchreise durch Berlin vorgestellt; Podevils hat mit diesem eine längere Unterredung gehabt. | Er hat sehr wohl gethan, zu sagen, dass wir uns nicht davon mehren werden. Es ist auch Meine Intention gar nicht, Mich im geringsten damit einzulassen, sondern Ich werde die Sachen gehen lassen, vor wen sie wollen und wie solche ausschlagen werden, auch alles wie ein tranquiller Spectateur mit ansehen. Aber die Franzosen führen sich jetzo sehr schlecht dabei auf. Uebrigens soll er an Valory nur deutlich zu verstehen geben, dass wir nicht so sehr curieux wären, zu wissen, was mit den Holländern tractiret wird, als dass vielmehr das französische Ministerium eine aufrichtige Confidence machte, was es in Polen und mit dem sächsischen Hofe negociiret. Ich werde Mich weder in die polnische noch in andere Sachen einlassen; dieses ist der Plan, den Ich Mir jetzo gemachet habe, und werde also die Sachen gehen lassen wie sie wollen und können, da hoffe Ich am weitesten und am besten damit zu kommen. |
Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.